Une rencontre ? ( pour takara haru)

cinq heurs et demi du matin. Pas un bruit ne venait dérangé le clame qui régné dans la grande maison qui pue le noble. Sur la pointe des pieds je me glissai hors de ma couette et pris doucement de ma main la poignet de la porte de ma chambre. Je la tira toujours avec un clame et une grande lenteur pour ne pas laisser échapper un grincement qui réveillera toute la maison. Puis je poussai la porte mais celle ci ne s'ouvrit pas. Je refis cette action plusieurs fois puis abandonnai. Ma tante qui avait du ce rendre compte de mes escapades matinal et avait sans doute fermait ma porte a clef.

Je retournai m'assoir sur mon lit, bouillonnant de rage j'étais enfermée dans une cage sans que je ne puisses rien faire pour en sortir. Je pris ma couette et la serrai de toute mes forces pour calmer ma rage et évitais de hurler.
Cette sensation de renfermer me rendait folle, et cette folie ne fis que s’aggraver avec l'odeur insupportable du noble, des habits que je suis obligé de porter, du petit déjeuner que l'on m'apporte tous les matins, comme une petite vielle qu'on aide par politesse.
Ici toute la maison me hais je le vois bien. D’après eux je ne me comporte pas comme une bonne petite comtesse qu'on aime chouchouter, mais finalement c'est vrai je fais exactement tout le contraire de ce qu'on me dit. Je suis une « anti-noble » alors, ça ne sera pas de sitôt que je me comporterais comme eux. Je m'éprise toute leurs actions. Leurs manières. Leurs idées politiques. Leurs façons ignoble de se comportait avec les autres.

Je remis vite fait la couverture sur mon dos quand j'entendis le bruit abominable des pas, de ma tante, dans les escaliers. Elle venait m'apporter mon « petit-déjeuner ». Avec elle je sais comment me comporter pour avoir tous ce que je veux : faire le petite ange et après demander ce que tu désir. Ca marche a tout les coups.
La veille femme entrant sans faire de bruit, elle croyait surement que je dormais, et alla vers la fenêtre pour ouvrir les volet en disant de sa voix potelet :

"Allez mon enfant debout il est 9h !"

Déjà agacé par cette veille folle, je me redressa sans mal, et celle ci me mit un plateau contenant des fruits, des tartines de beurres et un bol de lait chaud sur mes jambes.
Je mangeai vite fait sans rien dire elle droite comme un piqué me fixée de ses petits yeux narquois.
Quand j'eus fini je me leva et pares que les bonnes de la maison vinrent pour ramasser le reste de mon repas je m'habillai avec l'aide de la sorcière qui ne manqua a me mettre plein de ruban rose dans les cheveux
il était a présent 9h 30. Et je fis ma petit comédie habituelle :

« Ma chère tante, avec tout le respect que je vous dois, il faut que je vous demande une faveur, puis avec des yeux implorant je dis, de grâce ma tante laissais moi sortir dehors l'aire frai me fera du bien j'en ai tellement besoin, je vous promet que je serai de retour pour le déjeuner sans fautes ! »

Elle me regarda et hésita un long moment puis me donna son accord. Qu'elle joie ! J'étais si heureuse ! Mais je pris bien garde a ne pas le montrer. Je sortis longeai la rue de ma demeure et quand j'eus la certitude que ma tante ne me vis pas je partis en courant.
Plus loin dans ma marche silencieuse j'arrache les stupides noeuds roses qu'on m'avais imposer et je m'assis sur un banc.
Je regardai, calment, le gens qui allaient et venaient dans un pas rapide, ils donne l'impression de marchaient dans un tempo régulier et tous c'est bruit de pas faisaient une musique insupportable.
Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas tuer. Ca me manquai tellement, mais depuis toute petite a force de vivre avec ces créature qu'on appelle humain j'ai appris a me contrôler.
D'un coup je redressai la tête j'avais sentis une présence non pas familière mais dont j'avais l'impression de connaître.
Quand mon regard ce posa sur une jeune femme qui semblait s’ennuyer a mourir. d'après l'odeur qu'elle dégagez je conclu qu'elle était de la race de vampire.
Je la fixa. C'était quand la dernière fois que j'avais vu une créature presque semblable a moi ?
Je ne me rappelle plus. Mais peu importe. Qu'es que ça change.
Mon regard ne la lâchai pas. J'attendais.

Puis plus rien. Une personne m'empêcha de regarder la jeune fille. Je grogna, les sale nobles m'empêcheront donc a faire tout ceux que je souhaite. Puis je sentis une présence humaine juste derrière moi. Par instinct je me positionna de sorte que si cette personne me voulait du mal je n'aurai aucun problème a me défendre. Très vite je sus qu'elle ne me fera rien, du moins pour le moment. Elle se pencha sur moi pour me murmurer a l'oreille :

Ce n'est pas très poli de fixer les gens...

Un grand sourire s'afficha sur mon visage. Pas un sourire sympathique mais un sourire de folie comme j'avais l'habitude de les faire. je me retourna lentement et le regarda droit dans les yeux. Je pus l'analyser avec plus de détaille. La façon dont elle s'habillait me prouver qu'elle n'était pas nobles ce qui me rassura directement. Elle avait l'aire totalement inoffensive mais portait une légère odeur de sang ce qui me donna l'eau a la bouche. Je lui répondit après un silence qui semblait interminable :

"Certe madame ce n'est pas poli de fixer les gens mais sachez pour autant que ce n'est pas dans ma nature d'être polie donc je peux me permette un certain nombre de chose que certaine personne se prive."

Avec certaine personne, il faut se méfier.

Elle s'arrêta un instant, a en voir par l'expression de son visage j'avais l'impression qu'elle me dit :
"prend garde a toi je veux te tuer". Et bien ! elle ne savait pas qui j'étais et j'étais loin d'être la petite duchesse qui sirote son petit thé tout le après midi ! D'ailleurs tout le noeud rose que je porte ne me plais guère et ne reflète en aucun cas ce que je suis réellement. Puis elle vint s'assoir a mes coté et finis par dire :

Mais je ne suis pas de ces gens là.

Puis elle me sourit avec sympathie et se tus en attendant ma réponse. Je lui rendais donc son sourir et lui dit :

Vous m'en voyais rassurer car je ne peux supporter la catégorie des noble et toutes ces autre créature ignoble et je ne peux que le méprisez. Notre entente sera donc meilleur ainsi qu'elle ne l'aurai était en cas contraire.